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Son Altesse Royale, La Princesse Sophie de Roumanie, Présidente d'honneur et ambassadrice de l'association est une artiste photographe internationale.

Son thème de prédilection est la Bretagne.

 

Sophie de Roumanie

Un entretien de la Princesse dans la presse

Quatrième fille du roi Michel de Roumanie, SAR la Princesse Sophie de Roumanie a étudié les Beaux Arts et la photographie à l'Université de Caroline du Nord à Asheville, et les Arts Graphiques au "Corcoran College of Art and Design" à Washington DC.

Après plusieurs années pendant lesquelles elle travailla et exposa ses œuvres des deux côtés de l'Atlantique, notamment à Saint Tropez, à Monte-Carlo, à Nassau aux Bahamas, Palm Beach en Floride, à Nantucket dans le Massachusetts et Los Angeles, sa vie pris un tournant radical avec la chute du communisme en Roumanie en 1989.

 

En qualité de vice présidente de la Fondation Princesse Margarita de Roumanie, elle s'engagea à assister le peuple roumain et les enfants en particulier dans leur lutte pour la récupération de leur identité après des décennies de tyrannie. 

 

Entre autre, elle écrit son premier livre, une collection de contes pour enfants, publié à Bucarest en 1995. Elle verse les profits des dix mille exemplaires vendus, à la Fondation, et par le biais de projets ciblés elle contribue ainsi de façon très personnelle à améliorer les conditions des enfants malades et défavorisés.


Elle reprend son appareil photo en 2000 et travaille sous les conseils d'un mentor. Elle se spécialise ensuite dans la photographie de paysages. C'est alors qu'elle découvre la Bretagne. 

Installée avec sa fille dans les Côtes d'Armor depuis 2007, elle capte la beauté et la lumière des paysages qui l'entourent, tant dans les terres que des côtes de la Bretagne où elle s'est encrée avec poésie et passion. 

En 2011, elle gagne son premier concours photo "A l'Ouest de Paris". La même année, elle présente ses premières expositions de photographies sur la Bretagne, au Château du Domaine de Tronjoly à Gourin dans le Morbihan. Elle gagna le Coup de Cœur du Public. 

Le fil conducteur de ses photos reste la luminosité. Elle vous apporte le reflet de ses sentiments devant la lumière bretonne qu'elle affectionne tant et qui l'émeut toujours autant qu'au premier jour.Elle expose ses photographies régulièrement en Bretagne.

 

Sophie de Roumanie est membre de Camera Obscura, une association qui regroupe des photographes de Bretagne dans une travail collectif qui se concentre sur les thèmes du patrimoine et de la mémoire, aussi bien que sur les aspects de la Bretagne d’aujourd’hui.  

Elle est aussi membre active du Centre d'Histoire de Bretagne - Kreizenn Istor Breizh.

Sophie de Roumanie est Présidente d'Honneur de la nouvellement créé Phare En Cap, une association qui a pour objet la sauvegarde d'un élément du patrimoine maritime, celui de la Pointe du Millier en particulier, grand site de France et plus généralement du Cap Sizun. source:  http://www.yafosphotography.com/welcomefr.ws

Gaëlle Crétiaux, surnommée avec son nom d’artiste photographe Gaëlle de Trescadec, est Capiste au plus profond de ses entrailles.

Sportive, artiste photographe et Kiné, elle a su par ses clichés transmettre le mouvement perpétuel autour d’Ar-Men. Sa série du Phare mythique prise de la mer est unique! On sent le mouvement perpétuel, on ressent l'isolement, et elle en sublime la majesté.

Ses photos de vagues, de tourbillons, de scènes diverses autour du milieu maritime transmettent une émotion inégalée.

Discrète, elle est méconnue du grand public.

Quand on termine de voir une exposition de ses photos, on n'en sort pas indemne.

 

Originaire du Cap, elle possède une connaissance de la mer et des  lieux.

Elle est membre de l’association.

 

https://www.facebook.com/laloupetitloup/?ref=ts&fref=ts

Il y a des arts qui ne sont pas faciles!

 

Portrait d'un artiste Forgeron

Par Michèle Chaouadi, http://www.lecourrier-leprogres.fr/.

Dans la vie il n’y a pas de hasard. Il n’y a que des choix et des rencontres. L’adage colle parfaitement au parcours de Thierry Potier, forgeron d’art. Après cinq années d’exercice en Indre-et-Loire où il travaille beaucoup pour les châteaux, un AVC le frappe en 2005. « Paralysé de tout le côté gauche, les médecins me somment de mettre une croix sur mon travail », raconte-t-il. Le coup est difficile à encaisser. Il lui faut du changement. Lui et sa famille décident de s’installer à Audierne, leur lieu de vacances habituel. Une fois dans le Cap Sizun, tout change.

Un travail reconnu

« J’ai repris quelques démonstrations à l’enclume sur les foires. J’allais de mieux en mieux physiquement. Du coup en 2010 j’ai décidé de reprendre mon métier », se souvient le forgeron. Il se lance donc à la recherche d’un local. Un ami lui parle d’un bâtiment à Pont-Croix à l’abandon. Thierry Potier se rend sur place pour le visiter. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il découvre que le local en question se trouve être les anciennes forges de la commune ! Sa seconde vie d’artisan peut commencer.

Il rallume la forge, fabrique ses gabarits, reprend le marteau et l’enclume. Sortent à nouveau de son atelier, gloriettes, rampes d’escaliers extérieurs, portails et autres pièces en fer forgé pour des clients essentiellement du coin. Très vite, son travail paie. « J’ai débuté sans publicité, confie-t-il. Quatre ans plus tard, tous mes carnets de commandes sont pleins jusqu’à mi 2015. »

L’artisan n’y voit là aucun talent personnel. Il attribue sa réussite aux autres : « je dois beaucoup aux gens du Cap. Si mon look les a d’abord fait reculer, ils m’ont accepté quand ils ont vu mon travail. Ici, si on ne triche pas, on vous le rend bien. » Pour ce fils de bûcheron de 44 ans « élevé à la dure », le respect du travail a toujours eu de l’importance.

Des pièces uniques

Tenté d’abord par une carrière militaire, le sous-officier chef de char change vite d’orientation après l’opération Tempête du désert qui le mène en Irak en 1991. À 22 ans, il retourne à Sainte-Catherine-de-Fierbois son village d’origine pour passer un brevet professionnel de forgeron serrurier et obtient le titre de meilleur apprenti de la région Centre. Il trouve sa place dans la société.

« Depuis le début, je suis attaché à pratiquer mon métier comme le forgeron d’antan. C’est pourquoi je consacre 80 % de mon travail à la ferronnerie d’art: restauration de pièces existantes et créations toujours uniques. »

Depuis deux ans, il propose également des cours tout public le week-end pour transmettre son savoir-faire. « Il m’arrive de refuser du monde tant la demande est forte, avoue Thierry Potier. Comme au Moyen-Âge, le forgeron intrigue car il maîtrise le feu. Et puis, les gens ont besoin d’authentique. Aucune machine ne pourra jamais fabriquer une voûte parfaite. »

Pourtant le vieux métier ne court pas les rues et il ne suffit pas d’avoir un père forgeron pour le devenir à son tour. Sur cinq enfants, un seul a hérité de la fibre paternelle. Depuis l’âge de 4 ans, Titouan* forge régulièrement aux côtés de son père lors de démonstrations.

Il est membre de l’association.

Les forges du Cap , 6 rue Émile Zola à Pont-Croix. Tel : ou  . Email : engoat@aliceadsl.fr Site : www.forges-du-cap.com

Râmine, Chercheur de sens et confiseur d’histoire. peintre maritime et mécano des couleurs.

 

Il est notre partenaire et n'a pas hésité à nous dire Oui pour créer l'affiche de notre premier grand évènement!

Jeune étudiant en licence d'ethnologie, Ramine a participé à la première édition des fêtes maritimes en exposant ses premiers travaux dans un abribus, bas de Siam. Il avait ressenti cet événement comme une révélation et a été happé par ce monde riche et hors du commun. Depuis 1992, il a participé à toutes les éditions des fêtes maritimes de Brest et d'autres festivals maritimes français et européens et est devenu un professionnel actif et attentif au sein de cette communauté.

  • Adresse : 64 bis rue d'Aiguillon(angle Michelet), 29200 Brest

  • Contact : - ramine@laposte.net

https://www.facebook.com/ramine.debrest

Isabelle De Col-Richard, Conteuse.

Entrée très tôt en Écriture, à 14 ans,  Isabelle a publié deux ouvrages de poésie…

Elle fonde en 2005 les éditions «Errances d’Arrée»et publie un recueil de Contes et Légendes composé de créations personnelles inspirées par sa Terre d’élection: la Montagne d’Arrée.

Passionnée par les Contes de Bretagne elle leur consacrera aussi une Maîtrise de Lettres Modernes…

Mais, sa passion pour la Tradition Orale ne se borne pas à la seule Bretagne...
Tour à tour, le Légendaire Celtique dans son ensemble, puis les Contes Amérindiens et ceux de nombreuses aires géographiques retiennent son attention...
Par goût de la découverte d'abord, du Cheminement à travers l'Imaginaire ensuite, mais aussi, pour nourrir une recherche comparatiste et aller à la Rencontre de tous les Rêves des Citoyens d'une même rue, d'un même village ou quartier, d'une même région... 
Bref, de tous les Citoyens du Monde!...
Convaincue que l'Imaginaire, la Tradition Orale et le Rêve demeurent les seuls remparts contre la morosité et l'uniformisation, elle y puise les forces de sa Parole Conteuse...

Le temps passe d'Il était une fois en Il était une fois... 

Après ce périple passionné et passionnant, un matin de 2001 les «Forces Vibratoires du Yeun Elez» la conduisent sur la Voie enchantée du Conte oral…

C’est ainsi qu’elle devient Conteuse et partage son temps depuis, entre la rédaction de ses manuscrits au coin du feu et, de nombreuses Veillées Contées où la Communion avec le public s’instaure, magique et immédiate…

Elle est membre de l’association.

 

http://www.isabelle-decolrichard-conteuse.com/

Yaouen, le marin musicien

Dans mon spectacle, j'incarne un marin nommé 'Yaouen" qui raconte ses aventures, son quotidien...

Ce personnage rend hommage à la poésie et aux marins de Bretagne  à travers les âges.

 

Je vous invite à partir en voyage musical avec Yaouen au rythme des consonances celtiques.

J’ai composé les musiques en privilégiant volontairement l'authenticité, la sobriété et la simplicité dans

mon expression musicale qui me permettent de me produire seul sur scène.

 

Le spectacle avance au rythme des émotions suscitées par les chants entremêlés d’intermèdes musicaux

avec la Harpe Guitare de 20 cordes aux sonorités si particulières, chaude et profonde ainsi que d’un bouzouki

irlandais  et d’une guitare.

Sur certaines chansons, les gens chantent avec moi

 

Mon album “Entre Ciels et terres”  est sortie le 15 février 2014.

Il a été suivi de tournées en Bretagne à Lannion, Paimpol (festival des vieux Gréements), St Malo, Dinan, Nevez, Auray, Festival interceltique

de Lorient  et beaucoup d’autres villes Bretonnes et festival de France ainsi qu’à l’étranger Suisse (Genève, Zurich, Berne...), Allemagne...

Il est membre de l’association.

 

http://www.yaouen.com/

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